Grosse manoeuvre organisée ce samedi 13 décembre par la commission Spéléo Secours, sur base d'un scénario "réaliste" mettant en cause un spéléo et son fils égarés (en fait à la Roche Perdue), un autre accompagné retrouvé au bas du grand puits de l'Abime de la Chawresse, blessé au bras et à la jambe et enfin un père et sa fille engagés dans la traversée mais dont on est sans nouvelles. Pour cause, là aussi un chute de la jeune fille les avait contraint a attendre les secours.
C'est donc toutes les notions de mise en alerte, de logistique, de recherches, de communications, de premiers soins, de brancardage et d'évacuation qui ont été revues durant cette longue et glaciale journée. C.T., C.T.A, toubib, victimes et équipiers, au total une cinquantaine de personnes était engagée dans cet entrainement grandeur nature où chacun s'est donné au mieux.
Pour ma part, après une petite fouille l'avant midi du réseau Perséphone (youpie :-( le gros lot, surtout que j'y étais passé il y a 15 jours....), où dès l'entrée nous étions quasi sûr de ne trouver personne (flaques d'eau claire), j'ai été ensuite affecté l'après midi sur la recherche dans Véronika des retardataires.
Nous les retrouverons "mal en point" au bout du Fil Rouge, juste à l'entrée du méandre du Renard. Installation de la blessée (cheville en compote) sous un point chaud (pratique dans un laminoir !), déployement du téléphone Nicola en cie de Benoit G. pour demander l'évacuation sur civière (équipe emmenée par Robs), avec petit bilan médical en cours de route. Et pour corser la situation, Claude le "faux vrai père" de Déborah fera une petite crise obligeant Marc H. de le "calmer" et le sortir.
Bref, un bel exercice récapitulatif, instructif à tout niveau et qui s'est déroulé dans la bonne humeur mais aussi tout le sérieux que ce type d'intervention nécessite.
C'est donc toutes les notions de mise en alerte, de logistique, de recherches, de communications, de premiers soins, de brancardage et d'évacuation qui ont été revues durant cette longue et glaciale journée. C.T., C.T.A, toubib, victimes et équipiers, au total une cinquantaine de personnes était engagée dans cet entrainement grandeur nature où chacun s'est donné au mieux.
Pour ma part, après une petite fouille l'avant midi du réseau Perséphone (youpie :-( le gros lot, surtout que j'y étais passé il y a 15 jours....), où dès l'entrée nous étions quasi sûr de ne trouver personne (flaques d'eau claire), j'ai été ensuite affecté l'après midi sur la recherche dans Véronika des retardataires.
Nous les retrouverons "mal en point" au bout du Fil Rouge, juste à l'entrée du méandre du Renard. Installation de la blessée (cheville en compote) sous un point chaud (pratique dans un laminoir !), déployement du téléphone Nicola en cie de Benoit G. pour demander l'évacuation sur civière (équipe emmenée par Robs), avec petit bilan médical en cours de route. Et pour corser la situation, Claude le "faux vrai père" de Déborah fera une petite crise obligeant Marc H. de le "calmer" et le sortir.
Bref, un bel exercice récapitulatif, instructif à tout niveau et qui s'est déroulé dans la bonne humeur mais aussi tout le sérieux que ce type d'intervention nécessite.
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